e marché commercial de Linux en Chine a connu une augmentation de 22,6 % l'année dernière, d'après une nouvelle étude. Toutefois, le niveau du marché demeure assez bas en termes de revenus, avec des revenus générant seulement 5,42 millions de dollars pendant les trois premiers mois de 2008, d'après l'entreprise chinoise CCID Consulting.
"Les serveurs demeurent l'application majeure du marché Linux", remarquent les analystes de CCID dans un récent rapport. "La profondeur et la largeur des serveurs d'applications, des serveurs de calcul à haute performances et des serveurs de bases de données ne cessent d'augmenter. De même pour le nombre d'approbations obtenues par Linux de la part des milieux gouvernementaux et financiers, ainsi que des services de télécommunication et de messagerie".
Avec l'expansion des canaux de distribution des fabricants, Linux s'étend en dehors de ses marchés traditionnels sur des villes majeures comme Beijing et Shanghai. Le système d'exploitation open source connaît un essor plus important dans les villes secondaires et tertiaires, et dans les régions plus pauvres comme la Chine de l'Ouest, d'après CCID.
Linux est également plus fréquemment pré-installé sur des PC que par le passé. Les pressions de Microsoft et des lobbys américains de droits d'auteur a poussé de nombreux fabricants comme Lenovo à proposer Windows avec tous les PC vendus en Chine. Toutefois, les petits fabricants vendent des PC avec Linux pré-installé afin de réduire le coût total du système, une licence Windows pouvant augmenter le prix de quelques dizaines de dollars.
Compte tenu de la simplicité d'accès à des copies piratées de Windows en Chine, il est assez courant pour les acheteurs et le personnel de petits magasins d'informatique de remplacer Linux par une copie piratée de Windows lors de la vente de ces PC.
Le CCID a également constaté une forte croissance sur le marché des versions personnalisées et mobiles de Linux en Chine.
article ecrit par Simon Burns (Vnunet.com) 23-05-2008
Garder le contact avec tous vos amis sur les différents réseaux sociaux prend beaucoup de temps par semaine. Pourquoi ne pas gagner un peu d’argent en le faisant?
Voici UrTurn, une nouvelle startup qui tente de créer une monnaie unique virtuelle à travers tous les réseaux sociaux. Le site vient d’être lancé en beta public et est aussi accessible via une application Facebook (My Space bientot).
UrTurn fonctionne un peu sur un mode pyramidal; les utilisateurs reçoivent des points quand ils invitent des amis (et encore plus de points si ces amis rajoutent l’application). Mais vous pouvez aussi gagner des points grâce à vos activités quotidiennes sur les réseaux; si vous rajouter deux amis, cinq photos, deux messages sur votre statut etc..ect.. assez pour gagner un iPod Touch.
Vous pouvez alors dépenser ces points dans un magasin virtuel ou il sera possible d’acheter des bons cadeaux ou des gadgets numériques. Une autre alternative et de placer ces points sur une place de marché et de les vendre pour de l’argent cash. Pas moyen de devenir riche mais une façon de gagner un peu d’argent tout en surfant sur Facebook. Afin d’éviter toute manipulation, le site requiert de lier son compte à un compte PayPal.
Encore du réseau social, et oui, mais cette fois peut-être un concept intéressant pour les utilisateurs? Une application qui permet de gagner de l'argent "sans rien faire"... à voir...
Les autorités de régulation en charge de la protection des données personnelles de l'Union européenne ont prévenu Google que son application controversée Street View pourrait enfreindre la règlementation relative à la vie privée. Cet outil fournit des photos interactives et à 360 degrés des rues de grandes villes (américaines en l'état actuel).
Peter Hustinx, superviseur de la protection des données de l'Union européenne, a déclaré à la presse que Street View ne doit pas être autorisée à afficher des photos de citoyens sur le site. "Rendre des images [disponibles] n'importe où va certainement créer des problèmes", déclare-t-il.
Cette application permet aux utilisateurs de naviguer dans Google Maps en utilisant des photos de rues, prises par des caméras montées sur véhicule. La controverse est apparue lorsque des photos présentaient souvent des individus identifiables dans la rue et dans des bâtiments.
Bien que Street View soit conforme aux lois américaines, Google permet aux propriétaires de demander à ce que les photos de leurs foyers soient retirées du service. Un couple de Pennsylvanie a porté plainte contre Google en début d'année après avoir trouvé des images de son foyer sur Street View. Même avant les déclarations de Peter Hustinx aux journalistes, Google avait déclaré qu'il était en train de tester une nouvelle fonctionnalité de brouillage facial.
Andrea Frome, ingénieur logiciel chez Google, a déclaré dans un blog officiel de Google que la fonctionnalité de brouillage facial est en cours de test sur une série d'images de New York. "Ce projet représente déjà un an de travail. Travailler à l'échelle Street View est un défi nécessitant un système de reconnaissance faciale automatique de très haut niveau", déclare-t-elle. "Nous continuons nos efforts pour améliorer [cette technologie], à mesure que nous la déployons pour notre imagerie existante et future".
HP has announced its intent to buy EDS and the process is already in stark contrast to the failed one Microsoft used on Yahoo. IBM is the competitive target for the HP acquisition and HP moved ahead of IBM some time ago in terms of worldwide revenue, though with a distinctly different product mix. HP has chased IBM for decades. Now, knowing that it is in the lead, it apparently plans to lengthen that lead.
We’ll contrast several aspects of the failed Microsoft/Yahoo merger attempt and what will likely be a successful attempt by HP. For most of you, the result of the HP/EDS merger will be vastly more important because you do business with one of these two companies.
On connaissait déjà des logiciels ou des robots sachant évoluer et muter pour mener à bien une tâche de manière efficace, sans avoir besoin de l’intervention d’un programmeur. On connaît aussi les sites web personnalisables, qui se souviennent de vos passages sur leurs pages et qui personnalisent leur contenu au gré de votre navigation. CreativeSynthesis propose d’aller un cran plus loin, rapporte-le DailyTelegraph à la suite du NewScientist : créer un site web qui transforme ses couleurs, ses polices et ses liens en réponse à l’activité non pas d’un internaute, comme c’est le cas avec les sites personnalisables, mais de l’activité de tous les internautes (lire les explications des auteurs).
Le logiciel adopte le principe des algorithmes évolutifs, qui reproduisent le procédé de l’évolution naturelle, explique le site de l’Atelier. Outre le suivi des clics sur le site, le dispositif est combiné à un système de suivit des mouvements de la souris, qui est capable de déterminer les contenus devant lesquels l’utilisateur hésite. Les chercheurs ont permis à une vingtaine de personnes de créer leur blog et leur évolution a été laissée aux mains du logiciel. Si les premiers résultats étaient parfois étonnants (couleurs discordantes, multiplication des polices différentes), ils se se sont progressivement affinés, au gré des visites. Le logiciel élimine les concordances qui ont le moins bon résultat par ceux qui fonctionnent le mieux. Mais pas seulement, des éléments aléatoires sont introduits pour que le système ne se focalise pas sur ce que les gens veulent le plus voir, mais laisse aussi libre court à un peu de créativité et de surprise.
“La plupart des exemples de l’utilisation des algorithmes génétiques sont de faire quelque chose et puis de montrer le résultat de l’interaction. Nous voulons que la créativité humaine soit une force motrice dans le processus d’évolution génétique de l’ordinateur. Ainsi, alors que les pages web continuent de grossir, il est encore important de savoir si les humains peuvent prendre soin d’elles et s’ils peuvent influencer cette croissance de manière significative”, indique Matthew Hockenberry, le directeur de CreativeSynthesis.
Cela peut être très intéressant. Ils ont aussi pensé à laissé une part d'aléatoire, comme cela l'utilisateur n'est pas cantonné dans ces goûts, et va par exemple dans un site web de news, pas lire que les nouvelles qui l'intéresse d'origine, mais peut avoir un aperçu d'autre chose
Menacé par Wikipédia, Larousse contre-attaque sur Internet. Explications avec Vivien Chantepie, son responsable multimédia.
01net. : L'encyclopédie Larousse a longtemps été un ouvrage de référence et, pourtant, elle était jusqu'ici indisponible en ligne. Que s'est-il passé ? Vivien Chantepie : La grande encyclopédie a disparu dans son format papier depuis la fin de la vente par courtage, il y a une dizaine d'années. Elle est revenue sur le marché en 2000, avec le CD et le DVD [toujours en vente entre 30 et 60 euros, NDLR]. Mais ces derniers temps, les ventes faiblissaient, on peut trouver à cela une explication simple : la croissance de la consultation du savoir encyclopédique sur Internet, et notamment - bien évidemment - sur un site comme Wikipédia. Aujourd'hui avec la mise en ligne de l'encyclopédie contributive Larousse [avec un contenu similaire à celui de la version DVD, NDLR], nous franchissons un nouveau cap. Que proposez-vous aux internautes ? Il faut bien comprendre que l'explosion des encyclopédies en ligne correspond à une forme de décloisonnement du savoir. En clair, si auparavant le contenu d'une encyclopédie était décidé par un comité de rédaction, tout cela doit être aujourd'hui repensé. Car les besoins du public, et des internautes, ne sont plus forcément les mêmes. C'est la raison pour laquelle nous avons fait le choix d'une encyclopédie mixte. D'un côté, nous proposons en accès libre la grande encyclopédie Larousse, soit 170 000 articles et 10 000 fichiers médias (animations, photos, dessins) [pas de vidéos, NDLR], avec un rythme d'actualisation quotidien [Wikipédia revendique plus de 657 000 articles en français, NDLR]. De l'autre, Larousse fait appel à la connaissance des internautes. Chacun peut contribuer au projet encyclopédique directement sur le site Larousse.fr. Cela signifie que les internautes peuvent couvrir des champs, par exemple les séries TV américaines, qui ne l'étaient pas jusqu'à présent. Nous n'excluons pas de commander des articles aux meilleurs contributeurs pour l'encyclopédie générale. Tous les internautes peuvent-ils écrire sur Larousse.fr ? Et comment les textes mis en ligne sont-ils modérés ? Sur le site, la signalétique des deux types de contenus est claire : orange pour les articles encyclopédiques, violet pour les contributions postées par les internautes. La partie contributive est ouverte à tous. Il suffit de s'inscrire et de s'identifier. Seuls les rédacteurs peuvent corriger leurs contributions, en insérant par exemple des liens vers des sites externes ou vers des articles de l'encyclopédie. Les autres internautes peuvent poster des commentaires sur les textes [sans pouvoir modifier les articles, NDLR]. Il n'y a pas de modération a priori. Mais nous avons un système d'alerte pour les mots sensibles. Et le public peut signaler un abus. Qui dit mise en ligne, dit aussi nouveau modèle économique, où en êtes vous ? Il est, disons le mot, évolutif. Rien n'est encore figé pour le moment. Cela pourra passer par de la publicité. Mais aussi par des contenus premium ou des partenariats de contenus. Mais au-delà de cela, l'arrivée sur Larousse.fr de l'encyclopédie contributive va nous permettre de mieux connaître les internautes ainsi que leurs besoins de lecture et de consultation. Tout cela n'est pas neutre, car c'est en partie grâce à ces données que nous pourrons faire évoluer le savoir encyclopédique. L'encyclopédie contributive Larousse va-t-elle prochainement s'enrichir de nouveaux contenus ? Nous travaillons aujourd'hui sur un partenariat vidéo avec National Geographic, qui devrait voir le jour d'ici à la fin de l'année। Par ailleurs, nous allons prochainement mettre l'accent sur la dimension communautaire du site Larousse.fr. L'idée est de rassembler les internautes autour de thèmes qui leur sont chers, notamment par des systèmes d'alertes ou d'abonnements à ses auteurs contributeurs préférés.
Source:www.01net.com La concurrence est indispensable!!!What's next?
Un tribunal américain a donné raison à la Motion Picture Association of America (MPAA) en ordonnant au site de téléchargement TorrentSpy de verser à l’association 110 millions de dollars de dommages et intérêts.
La juge Florence-Marie Cooper a imposé une amende de 30 000 dollars aux propriétaires du site, Justin Bunnell et Wes Park, pour 3 699 affaires de violation de droits d’auteur. Le site a été fermé le 24 mars et ses propriétaires se sont déclarés en faillite.
"Le climat légal qui règne aux États-Unis concernant le droit d'auteur, la confidentialité des recherches et des fichiers torrent contenus dans les résultats de recherche est simplement trop hostile", ont expliqué Justin Bunnell et Wes Park sur le site TorrentSpy. "Nous avons passé les deux dernières années à défendre nos droits ainsi que ceux de nos utilisateurs. Cela nous a coûté des centaines de milliers de dollars."
"La cour a fini par exiger des actions contraires à notre politique de confidentialité, aux décisions judiciaires traditionnelles et aux lois internationales", poursuivent les protagonistes. "En conséquence de quoi, nous avons été contraints d’appliquer la méthode de protection de confidentialité la plus stricte pour nos utilisateurs – un arrêt définitif. Cela a été un véritable parcours du combattant."
"Le montant de l’amende envoie un message clair quant à l’illégalité de ces sites", a commenté Dan Glickman, président de la MPAA, dans un communiqué. "La fin de TorrentSpy est une grande victoire pour les studios et prouve clairement que ces sites pirates ne pourront continuer à fonctionner sans faire l’objet de poursuites par les détenteurs de droits d’auteur."
La MPAA a engagé son action en justice en 2006 pour "technologie abusive destinée à faciliter la violation des œuvres protégées par des droits d’auteur". Justin Bunnell et Wes Park ont été reconnus coupables en décembre 2007 de dissimulation de preuves, sous la forme de fichiers journaux, et de mensonge sous serment.
o ur montrer que les données personnelles des utilisateurs du site de socialisation Facebook sont facilement accessibles à des tiers, des journalistes de la BBC ont créé"en moins de trois heures" une application "que n'importe quelle personne avec des connaissances de base en programmation" pourrait élaborer. Ce programme, qui peut indifféremment se présenter sous la forme d'un quizz ou d'un jeu, permet d'obtenir à l'insu de l'internaute son nom, son adresse, le nom de son employeur et sa date de naissance, ainsi que ceux de ses proches.
L'application, créée par les journalistes du programme télévisé Click, a été ajoutée aux comptes de quatre utilisateurs de Facebook. Pas la peine de l'avoir soi-même installée pour en être victime, il suffit d'avoir un de ses amis qui l'a fait. Les créateurs du programme"ont ainsi pu accéder aux données personnelles de ces quatre personnes et de leurs amis sur Facebook, même si beaucoup d'entre eux avaient pris soin de cacher ces données de leur profil public", explique la BBC.
Voila le coeur de la problématique sur la sécurité des données personnelles et les réseaux sociaux. L'utilisateur doit vraiment rester très vigilant sur ce qu'il met sur Internet. Ce type de problème devrait occuper l'attention de bon nombre de personne à l'avenir car ce sera crucial pour le développement du Web...
Sprint and Clearwire to Combine WiMAX Businesses, Creating a New Mobile Broadband Company
Intel, Google, Comcast, Time Warner Cable and Bright House Networks to Invest $3.2 Billion in Combined Company, at Target Price of $20.00 per Share Formation of New Company Brings Together the Nation's Leaders in Comm
KIRKLAND, Wash. & OVERLAND PARK, Kan. — Clearwire Corporation (NASDAQ: CLWR) and Sprint Nextel Corporation (NYSE: S) today announced that they have entered into a definitive agreement to combine their next-generation wireless broadband businesses to form a new wireless communications company.
Business Wire
The new company, which will be named Clearwire, will be focused on expediting the deployment of the first nationwide mobile WiMAX network to provide a true mobile broadband experience for consumers, small businesses, medium and large enterprises, public safety organizations and educational institutions. The new Clearwire expects to dramatically enhance the speed and manner in which customers access all that the Internet has to offer at home, in the office and on the road.
SAP, Microsoft et quinze autres sociétés -SSII ou acteurs du monde bancaire- viennent de créer l'association BIAN (Banking industry architecture network) afin de partager leur expertises techniques et méthodologies pour faciliter l'évolution des systèmes informatiques des banques vers une architecture orientée services (SOA). Parmi les membres figure la SSII française Steria.
L'association rappelle que les systèmes d'information en place dans les banques comportent toujours une large part de développements spécifiques. Ces derniers constituent une entrave de plus en plus gênante avec la globalisation des marchés financiers. BIAN se donne pour objectif d'encourager le développement de services standardisés, vers lesquelles les banques pourraient évoluer par étapes.
L'une des difficultés rencontrées dans le cadre des projets SOA réside dans la définition sémantique des services (un sujet notamment évoqué lors des premières assises du développement de SI durables, en janvier dernier). C'est un chantier auquel SAP a commencé à s'atteler pour le secteur bancaire en créant, en 2005, le regroupement IVN (industry value network) for Banks qui rassemble 37 éditeurs et institutions financières.
L'association BIAN (de droit allemand) a adopté une politique de propriété intellectuelle ouverte afin que les spécifications qui sortent de la collaboration de ses membres puissent être mises en oeuvre sur de multiples plateformes technologiques.
Autre fois on se rend compte de la grande importance d'évolution des systèmes d'information, mais aller des Systèmes bancaires spécifiques vers une globalisation des marchés financiers avec une architecture orientée services, je crois que c'est un grand défit surtout au niveau sécurité et bonne chance pour SAP et microsoft qui se lancent dans ce projet....
Solar company HelioVolt and Architectural Glass & Aluminum on Tuesday announced a partnership to produce glass windows capable of generating electricity.
HelioVolt is one of several new solar manufacturers using different materials to produce thin-film solar cells.
HelioVolt's solar cell which it will put into solar panels and embe into building materials.
(Credit: HelioVolt)
The company intends to make solar cells for rooftop panels and later get into building-integrated photovoltaics (BIPV), where cells are embedded onto roof shingles, blinds, awnings, or other building components.
Alors que Microsoft mettait en ligne hier la version finale du Service Pack 3 de Windows XP (voir Le Service Pack 3 de Windows XP est disponible), l'éditeur vient de faire volte-face en retirant le même Service Pack 3 du téléchargement। Selon le géant de Redmond, un problème de dernière minute aurait en effet été découvert par ses équipes, un problème concernant une application pour le moins isolée. Le programme concerné serait Microsoft Dynamics Retail Management System, un logiciel de gestion des ventes : l'installation du Service Pack 3 sur les machines équipées de ce logiciel se traduirait par des pertes de données.Apparemment, le bug découvert dans le Service Pack 3 de Windows XP affecterait également le Service Pack 1 de Windows Vista et Microsoft serait actuellement en train de développer un correctif afin de corriger ce problème. Bien que Microsoft retarde la disponibilité publique et officielle du Service Pack 3, celui-ci reste téléchargeable depuis les serveurs de l'éditeur. Microsoft indique travailler sur la mise en place d'un filtre sur son service Windows Update afin de ne pas diffuser les Service Pack concernés sur les machines utilisant le logiciel Microsoft Dynamics Retail Management System alors que la distribution automatique du Service Pack 1 de Windows Vista est interrompue.
Force est de constater que quelques années après sa création les internautes, les blogs et les médias continuent de parler de Web 2.0 pourtant le web a bien évidemment changé et la vague d’innovations qui a caractérisé l’internet il y a 2 ou 3 ans est aujourd’hui bien différente. Beaucoup proposent (et c’est aussi ma position) parler simplement de web alors que l’innovation n’est plus le monopole des startups mais aussi des grands groupes d’où qu’ils viennent. Le Web est social, le RSS est de plus utilisé, les technologies ajax and co sont désormais monnaies courantes, une grande majorité de sites invitent les internautes à contribuer d’une manière ou d’une autre. Bref ce qui semblait nouveau il y a deux ans ne l’est plus et je continue de m’intérroger sur la pertinence d’une telle appellation bien périmée. Tim O’reilly lui même (le créateur de l’expression) regrette l’abus de cette expression devenue creuse
TechCrunch UK vient de publier une vidéo ou des bloggeurs phares s’essaient à définir; bien péniblement d’ailleurs, le web 2.0
Le web évolue, c'est incontestable, faut-il vraiment lui donner pour autant un numéro ce version? Il est composé d'une telle multitude d'acteurs et de composants différents qui forment un tout qu'il est difficile à mon sens de parler de versions du Web, il est comme un organisme vivant qui évolue au fil du temps.
La compilation d’informations ou "news aggregator" était l’apanage d’essentiellement de deux groupe Internet : Google News et Yahoo News. Est-ce étonnant ? Un troisième concurrent tente d'exister sur le marché des moteurs d'actualité : Live Search News par Microsoft.
Ce service, qui a fait l'objet d'un lifting depuis sa première apparition il y a deux ans, présente beaucoup de similitudes avec Google News, malgré quelques différences esthétiques. En l'état actuel, il n'est disponible qu'aux Etats-Unis.
La présence de vidéos d’actualité issues d’agences (Reuters et AP) sur la page d’accueil de la majorité des rubriques est un atout, il suffit d’ailleurs de passer son curseur dessus pour que la vidéo se lance, pratique pour avoir un aperçu.
Mais Live Search News, à la différence de Google News, ne propose pas de personnalisation de page. Il faut se contenter d’une sélection par rubrique "Top Stories", "World", "US", "Local", "Business", "Politics"… ou d’une recherche par mot-clef.
Personnalisation en fonction de l’adresse IP
Autre spécificité de Live Search News, la section "Local". Microsoft déduit la situation géographique d’un utilisateur en fonction de son adresse IP, et compile l’actualité locale. Mais l’option en question semble être limitée en terme de sources, à titre d’exemple, à Los Angeles, seul le journal de la ville est proposée en source locale : le Los Angeles Times.
Le nombre de sources disponibles est donc le seul inconvénient du nouveau service, alors que Google se vante sur son site de piocher parmi 4500 sources anglophones à travers le monde. Microsoft reste quant à lui évasif sur l’extensivité des sources.
Autre bémol, Live Search News est accessible en anglais, mais d’autres langues ne devraient pas tarder à apparaître. La firme parle également d’incorporer une option "blogs", histoire de mêler actualité et buzz.
article écrit par Cécile Grégoriadès sur www.vnunet.fr
L'article ci-dessous constitue un bon exemple de ce à quoi la "Commission de la vie privée" sert en réalité : cette commission, qui est supposée DEFENDRE LA VIE PRIVEE, est simplement l'organe qui doit donner son AUTORISATION PREALABLE afin que les commerçants placent une CAMERA DE VIDEOSURVEILLANCE DANS LEUR MAGASIN !!!
C'est ainsi que cette commission, qui est censée PROTEGER la vie privée, AUTORISE finalement la VIOLATION DE CETTE VIE PRIVEE !!! Nous voyons donc que cet organe est donc TRES LOIN de son but avoué, mais qu'elle sert une TOUT AUTRE CAUSE ! C'est donc très probablement avec son aval aussi que l'adoption des appareils biométriques et autres technologies liberticides se fera (si du moins les Belges restent aussi apathiques qu'en ce moment).
Rappelons que plus de 800 caméras CCTV ont été placées dans les trams et métros bruxellois il y a quelques mois, et que des dizaines d'entre elles ont été placées aux "points stratégiques" à Charleroi, notamment sous la forme discrète et fourbe de "lampes globuleuses" contenant une caméra. Le même genre de système s'est également répandu dans les principales villes côtières de Flandre.
Bref, les Belges PERDENT de plus en plus de vie privée , qui par la carte d'identité électroniques, qui par les lois "antiterroristes", qui par les caméras de vidéosurveillance, qui par les passeports biométriques...
Le mouvement n'est pas prêt de s'arrêter (A MOINS QU'UNE OPPOSITION POPULAIRE ET QU'UNE VERITABLE REACTION CITOYENNE DE DEFENSE DES LIBERTES ET DE LA VIE PRIVEE NE SURGISSE ), puisque l'on prévoit prochainement de discuter des fichiers médicaux informatisés ou encore... des diaboliques PUCES RFID IMPLANTABLES POUR HUMAINS (projet de loi déposé par l'infâme sénateur Brotchi) et qui permettent, rappelons-le, LE CONTRÔLE COMPORTEMENTAL, MENTAL ET HORMONAL DE L'INDIVIDU, SUPPRIMANT AINSI UN MAXIMUM DE LIBERTES (dont le LIBRE-ARBITRE) !!!
Si une REACTION très déterminée et très FAROUCHE des citoyens belges ne voit pas le jour, la Belgique va, ELLE AUSSI, tomber petit à petit dans une DICTATURE ORWELLIENNE DE TYPE "BIG BROTHER" telle qu'en Grande-Bretagne ou aux U.S.A. dictatoriaux.
En outre, à la question que pose le titre de l'article ("caméra ou vie privée ?"), la réponse, actuellement, est malheureusement "caméra" (et donc, SUPPRESSION progressive de la vie privée !)...
BRUXELLES - L’utilisation de caméras de surveillance dans certains commerces a été évoquée hier en Commission de la Justice de la Chambre. «Il est loisible à la Commission de demander un avis à la Commission pour la vie privée. Cela permettrait d’alimenter une réflexion sur le sujet qui pourrait aboutir à l’élaboration d’un nouveau cadre législatif», a déclaré la ministre Laurette Onkelinx.
Celle-ci était interrogée par Tony Van Parys (CD&V) sur les suites du meurtre pour faciliter le vol d’un bijoutier à Lede. La ministre a rappelé que l’installation de caméras et l’utilisation des images enregistrées sont réglementées par la législation sur la protection de la vie privée. Un commerçant peut installer une caméra de surveillance à la condition d’en avertir la Commission de la vie privée et sa clientèle et de placer la caméra de telle sorte qu’elle soit dirigée vers l’intérieur ou l’entrée du commerce.
Source : journal belge "Metro" (http://www.metrotime.be) du mercredi 08 novembre 2006, p.2.
Personnellement, je crois que le contrôle de la vie privée est un problème d'actualité que toutes les conférenciers du monde en discutent. le fait de savoir qu'une caméra branché quelque part te filme à ton insu dans la rue ou dans les grandes surfaces est déjà un fait dangereux puisqu'on ne sait pas même où ils vont diffuser nos photos et pour quelle raison. Ainsi, il est fort impératif d'informer les gens au préalable sur la présence d'un caméra et leur donner le choix d'accepter ou non.
Microsoft : retenir les «Yahoo! boys» lui coûtera des milliards
18/04/2008 09:57
Microsoft pourrait bien débourser un ou deux milliards de dollars dans le cadre du rachat de Yahoo!. Et ce, uniquement pour (tenter de) retenir les salariés de sa proie. Une stratégie qui s'est avérée payante lors du rachat de Tellme Networks.
Payer les salariés de Yahoo! pour qu'ils ne partent pas : c'est ce que Microsoft s'apprêterait à faire s'il parvenait à mettre la main sur le portail, révèle jeudi le New York Times. Un surcoût qui pourrait ajouter quelques milliards de dollars aux 42 milliards déjà offerts aux actionnaires.
Le quotidien américain se base, pour réaliser cette estimation, sur le package «anti-fuite» accordé aux employés de Tellme Networks, un spécialiste de la reconnaissance vocale racheté l'an dernier pour 800 millions de dollars. Selon «deux personnes proches de Microsoft», le géant de Redmond aurait dépensé 100 millions de plus pour retenir les 330 salariés de la start-up. Soit 300.000 dollars par tête. Et avec un certain succès, puisque 95 % d'entre eux seraient toujours dans la maison.
Yahoo! : Microsoft ne veut pas acheter une coquille vide...
Bien sûr, pour Yahoo!, la facture serait beaucoup plus élevée compte tenu des 14.000 personnes employées par le portail. Il faut dire qu'à 300.000 dollars par tête, cela donne tout de même un total croquignolet : 4,2 milliards de dollars. Le NYT se fait donc plus modeste en revoyant la facture à un ou deux «petits» milliards.
Microsoft n'aurait toutefois pas le choix s'il ne veut pas acheter une coquille vide. Dans les entreprises Internet de haut vol, le capital humain est essentiel. Or l'image de Microsoft ne serait pas bonne dans les start-up. D'où cette prime spéciale destinée aux salariés. Toujours selon le New York Times, son montant potentiellement très élevé expliquerait également en partie pourquoi le 1er éditeur mondial de logiciels rechigne à améliorer les conditions de son OPA.
Google confronté à une fuite de cerveaux
La stratégie a peut-être marché pour une petite start-up comme Tellme Networks mais elle ne réussit pas à tous les colosses high-tech. Le rival Google ne parvient pas, de son côté, à juguler son hémorragie de cerveaux. Et là, c'est précisément l'argument «pluie de dollars» qui a mis le feu aux poudres.
Le site de paiement en ligne ne plaisante pas avec la sécurité : Paypal se dit prêt à interdire l'accès à ses services aux internautes qui utilisent des navigateurs obsolètes. Dans un livre blanc rédigé par ses spécialistes de la sécurité en ligne, la filiale d'eBay souligne « qu'il est alarmant de voir qu'une partie significative de nos utilisateurs passent par des navigateurs très vieux et vulnérables, tel Internet Explorer 4 ». Certains en sont même toujours à IE 3, sorti il y a une dizaine d'année. Leur navigateur ne propose aucune fonctionnalité de lutte contre le phishing ou l'usurpation d'identité, deux fléaux qui affectent Paypal. Pour limiter les tentatives de fraudes, Paypal pourrait, dans un premier temps, afficher un message incitant l'internaute à mettre à jour son navigateur. Et l'aider à choisir des navigateurs compatibles avec les certificats EV SSL (Extended Validation SSL), utilisés par Paypal. Les dernières versions d'Internet Explorer et de Firefox proposent de telles fonctionnalités. Et si l'utilisateur continuait à se connecter à ses services avec un logiciel non sécurisé, Paypal pourrait décider de lui bloquer l'accès, peut-on lire dans le livre blanc. « Selon nous, laisser les utilisateurs voir le site Paypal avec un navigateur non sécurisé revient à ce qu'un constructeur automobile laisse les conducteurs acheter une voiture sans ceinture de sécurité. » Par ZDNet France
L'eToken NG-Flash d'Aladdin Knowledge Systems vise à simplifier la tâche des utilisateurs en entreprise, confrontés périodiquement aux procédures d'accès sécurisés et au transport de données. Cette clé USB s'utilise en mode plug-and-play, tant en sécurisation qu'en mémoire flash.
La mémoire flash peut fonctionner comme toute autre clé USB, dotée d'une capacité de 512 Mo à 8 Go. Cependant, son processeur embarqué permet d'assurer la confidentialité des données, par leur cryptage en chiffrement AES 128. Indépendamment de la mémoire de stockage, ce token dispose de fonctions de sécurité intégrées, comparables à celles d'une carte à puce. A ce titre, l'eToken NG-FLASH 72 K comprend un processeur cryptographique, une mémoire de travail de 72 ko et un système d'exploitation dédié. Il suit d'ailleurs le standard Java Card à machine virtuelle Java.
Ce token USB serait ainsi capable de remplacer la carte à puce, dans toutes ses applications corporate: procédures de connexions sécurisées, signatures électroniques, accès aux VPN (Virtual Private Network), identification HTTPS, etc. En effet, l'eToken NG FLASH 72K gère les certificats à clé cryptée (X509), en chiffrement RSA 1024 ou RSA 2048. Son fonctionnement "bi-clé" - clé publique + clé privée - correspond au standard courant PKI (Public Key Infrastructure).
Un bundle PME
Aladdin présente donc ce token, comme directement compatible avec les applications existantes. Il permet l'authentification forte, c'est-à-dire à deux facteurs ("ce que je sais", le code, et "ce que je possède", le token), et la génération de mots de passe uniques, OTP (One Time Password). Par extension, il est utilisable avec les technologies SSO (Single Sign On), qui permettent d'ouvrir plusieurs applications en ne s'identifiant qu'une seule fois.
L'eToken NG-FASH 72K vient d'être lancé à des prix indicatifs de 58 euros en 512 Mo ou 115 euros en 4 Go, par exemple. Cependant, la mise en œuvre de ses fonctions de sécurité exige l'installation du logiciel Aladdin PKI client (11,7 Mo), fourni en supplément, pour 15 euros par poste client utilisateur.
En marge de ces prix (dégressifs en quantité), citons le bundle PME à 780 euros, comprenant 10 eTokenNG-FLASH 72K d'1 Go et leurs PKI client. Aux organisations à nombreux utilisateurs, Aladdin propose le Gestionnaire de tokens, propre à facilité l'administration des identités et des droits.
A noter que, pour des applications tout à fait spécifiques, l'eToken NG-FLASH 72K se programme comme une carte à puce, à partir du SDK (Software Developer Kit) dédié. De plus, Aladdin peut rajouter une troisième fonction indépendante à sa nouvelle clé USB: la RFID, à raison d'environ 7 euros par tag.
Article ecrit par Jean-Michel de Lamezan sur http://www.vnunet.fr/
Suite à la consultation sur les RFiD de 2006, l’Union européenne conduit actuellement une consultation en ligne sur la confidentialité et les principes de sécurité des applications Rfid, en mettant en discussion les recommandations qu’elle s’apprête à formuler. Parmi celles-ci, la commission s’inquiète de l’invisibilité de la technologie : “Quand des applications Rfid sont implémentées dans les espaces publics, les opérateurs devraient informer les individus sur leur utilisation, par une signalisation claire, accessible à tous, qui explique la présence de lecteur Rfid. L’information devrait indiquer, le cas échéant, que les étiquettes et les lecteurs peuvent récupérer de l’information sans requérir une action de la part des individus.”
Une occasion pour Timo Arnal, designer à l’Ecole d’architecture et de design d’Oslo, de rappeler son travail de conception de logos sur la présence et les usages possibles des systèmes pervasifs (voire La RFiD à portée de tous). Comment rendre visible l’invisible ? Comment prévenir les gens qu’ils peuvent télécharger ou déposer ici quelque chose d’invisible ? Pour Timo, il faut créer une taxonomie des risques orientés utilisateurs. Pour cela, il a imaginé un langage graphique pour signaler les usages possibles des étiquettes intelligentes.
Au printemps 2007, avec des étudiants conduits par Ingeborg Marie Dehs Thomas, il a également imaginé toute une galerie de “monstres”, sur le modèle des catalogues d’histoire naturelle, pour représenter les différents signaux radios. Ces “bulles de radio” (.pdf) avaient pour but d’explorer la perception des champs électromagnétiques et ont donné naissance à une courte “Encyclopédie des ondes radios”, contenant des espèces d’ondes fictionnelles, représentant les différentes manières dont les ondes habitent l’espace, comme les technologies Bluetooth, GSM, RFiD, Wi-Fi ou Zigbee. Une autre façon de donner une existence concrète à l’invisible.
Dès 2005, Timo Arnall avait imaginé, lors d’un atelier, “un langage graphique pour le toucher” (.pdf). Dans ce travail exploratoire, il avait conçu un ensemble de logos pour représenter les différentes possibilités d’interagir avec des données invisibles. Un travail complété en 2007 par un langage graphique dédié aux RFiD consacré là aussi, à décrire les possibilités d’interaction avec la technologie. Une façon d’interroger nos manières d’interagir : Comment visualiser la présence de RFiD ? Comment inviter les utilisateurs à toucher, à prendre, à ouvrir, à fermer, à s’identifier, à télécharger ?… Comment re-concevoir un distributeur de tickets ou un terminal de paiement à l’heure des transactions invisibles ? Comment optimiser la localisation, la forme, le placement des lecteurs RFiD ? Est-il utile de représenter les modes d’interactions possibles et les fonctionnalités proposées ? L’idée n’était pas seulement de signaler un risque éventuel, mais d’expliquer aux usagers, le contenu et la façon d’interagir.
Comme le signalait déjà Timo, cela pose plus de questions que cela n’en résout. “Est-ce que les gens peuvent comprendre rapidement le sens de ces icônes ? Y’a-t-il des différences entre toucher et s’approcher ? Est-ce que les gens peuvent comprendre la bonne action dans un univers où différentes fonctions sont possibles ?…”
Plus fonctionnel, signalons l’étonnant Atlas de l’espace électromagnétique qui permet de voir le spectre d’onde des technologies superposé à une base de ressource de projets artistiques. Via Ecrans.
Des icônes très étranges, je ne sais pas si métaphoriquement parlant ce sont les meilleures, mais au tout cas elles sont très intéressantes. Pour aller voir les images, aller sur l'article .De plus, il est certain que rendre de nouveaux concepts invisible visible est un sacré défi.
"Si tu ne vas pas au tuning PC, le tuning ira à toi.."
La preuve : le Power 575, un superordinateur encore à l'étude, devrait tenir dans une grosse armoire normande et utiliser de petites canalisations d'eau (image ci-dessus) pour refroidir ses circuits au niveau du microprocesseur même et pas de la boîte, comme c'est le cas avec les systèmes de tuyaux watercooling actuellement. Mais ce n'est pas tout..
Avec la puce intégrée entre autres au passeport belge moderne, il est possible de connaître à distance de quel pays elle provient. Voilà ce qu'ont découvert des chercheurs de l'université néerlandaise Radboud. L'information en question peut alors être exploitée pour des vols ciblés, voire pour des 'passeports bombes.
Voilà ce qu'on pouvait lire, hier, dans le journal néerlandais Trouw et qui est publié aujourd'hui dans les journaux du groupe Corelio. Des chercheurs de l'université Radboud ont découvert qu'il est très facile de découvrir d'où provient la puce RFID pourtant fortement sécurisée. "Il suffit d'envoyer un code erroné vers un passeport", explique Erik Poll, chercheur, dans Trouw. "Dans les règles Icao (Icao est l'organisation aérienne des Nations-Unies, NDLR), il est clairement stipulé comment la puce intégrée à un passeport doit répondre à toute question correcte posée par un appareil de lecture officiel, comme à la douane. Mais l'on a omis de prévoir quelque chose du genre pour les réponses à des demandes erronées. Dans la pratique, il apparaît que chaque pays a imaginé une manière propre d'interpréter les codes fautifs. Analysez le message d'erreur que vous obtenez après avoir envoyé sciemment un code erroné, et vous savez de quel pays émane le passeport."
Bart Jacobs, professeur de sécurité informatique à l'université Radboud, confirme l'information publiée dans le journal Trouw, mais qualifie son titre 'Après la puce qui coule, voici le passeport qui fuit' quelque peu exagéré. "La puce du passeport n'est en l'occurrence pas piratée. On peut donc pas en tirer des données personnelles. Il est cependant vrai qu'il est possible de connaître la nationalité d'un passeport à faible distance. Rien de plus et rien de moins. En automne dernier, nous l'avions signalé au secrétaire d'Etat Bijleveld (de l'intérieur et des relations du royaume, NDLR) qui en a alors informé la Chambre." Au ministère belge des affaires étrangères, on minimise l'affaire: "Il n'y a pas de quoi paniquer parce que le passeport, c'est bien plus que la seule puce."
Les chercheurs mêmes, qui présenteront leur découverte le 15 mai lors d'un congrès scientifique, jugent cependant la menace d'abus bien réelle. Un exemple spectaculaire est le principe du 'passeport bombe' qui se déclenche lorsque quelqu'un d'une nationalité déterminée se présente quelque part. Autre exemple plus réaliste: celui de voleurs qui vérifient d'abord si et quel passeport possède quelqu'un et d'où est-il. Le vol ciblé est donc ainsi nettement facilité.
Les chercheurs de l'université Radboud avait précédemment déjà piraté la puce Mifare largement utilisée et incorporée à de très nombreux badges de personnel et titres de transport. Data News avait aussi découvert récemment que les badges d'accès des 7 parlements belges intègrent la puce peu sûre.
Le responsable en question se nomme David Cross et il est le responsable en charge du développement de l’UAC. Le User Account Control est ce dispositif de sécurité qui surveille les différents accès au système et demande à l’utilisateur l’autorisation pour que tel module puisse exécuter telle action. Le problème est que beaucoup trouvent que l’UAC est fastidieux et mal adapté. Apple a d’ailleurs repris cette critique dans l’une de ses publicités. D’autres estiment que VistaDernière grande version en date de Windows, sortie début 2007. Windows Vista est la première grande révision de Windows depuis XP. Elle apporte une... demande au final trop d’autorisations, ce qui énerve l’utilisateur qui cliquera OK sans faire attention.
Exprès pour énerver
Nous apprenons aujourd’hui de la bouche du père de ce système que cela est finalement l’intention de Microsoft. David Cross affirme :
« La raison pour laquelle nous avons intégré l’UAC au sein de la plateforme était pour énerver les utilisateurs. Je suis sérieux ! ».
M. Cross explique que le but était de décourager les utilisateurs de creuser trop profondément dans le système d’exploitation en modifiant des paramètres importants, incitant aussi les développeurs à concevoir des programmes qui n’aillent pas trop loin dans les sous-systèmes.
Moi je crois que la fonction de gestion des droits utilisateurs introduite avec Windows Vista est au début assez genante, mais c'est plus sécurisé, en fait d'après mon expèrience j'ai pas eu aucun problème avec vista depuis 8 mois. De plus on a la possiblité de désactiver ce service. donc merci Microsoft ;)
le 10 avril, le Parlement européen a adopté un amendement qui "engage la Commission et les États membres à reconnaître qu’Internet est une vaste plate-forme pour l’expression culturelle [...] et, par conséquent, à éviter l’adoption de mesures allant à l’encontre des droits de l’homme, des droits civiques et des principes de proportionnalité, d’efficacité et d’effet dissuasif, telles que l’interruption de l’accès à Internet".
A une courte majorité (314 contre 297), les eurodéputés s'opposent donc au principe de riposte graduée inscrit dans le projet de loi Olivennes qui, en cas d'infraction au droit d'auteur, prévoit de couper l'accès Internet aux internautes récidivistes.
Pour l'eurodéputé Guy Bono, auteur du rapport consacré aux industries culturelles et adopté le 22 janvier par la Commission de la Culture du Parlement européen, "la coupure de l'accès internet est une sanction aux effets puissants qui pourrait avoir des répercussions graves dans une société où l'accès à Internet est un droit impératif pour l'inclusion sociale", écrit-il sur son site.
Des industries incapables de changer leur modèle économique
Si l'amendement s'opposant à l'interruption de l'accès Internet est passé à quelques voix près, le rapport Bono a lui été adopté a une large majorité: 586 pour 36 contre. Il prône notamment la mise en œuvre d'un cadre réglementaire et fiscal favorables aux industries culturelles européenne. Une mise en œuvre qui, sans occulter le phénomène du piratage et de la contrefaçon, ne doit pas s'opposer aux libertés civiques.
En votant pour les amendements 1 et 2 (et particulièrement le paragraphe 22 bis) déposés par Michel Rocard et Guy Bono, le Parlement européen fait entendre la nécessaire distinction entre la piraterie de masse et les consommateurs qui n'agissent pas dans un but mercantile.
"Les mesures répressives sont des mesures dictées par des industries qui n'ont pas été capables de changer leurs modèles économiques face aux nécessités imposées par la société de l'information", soutient Guy Bono. "L'enjeu central est ici de trouver un équilibre entre les possibilités d'accès aux activités et contenus culturels, la diversité culturelle et une véritable rémunération aux titulaires de droits".
article ecrit par Christophe Lagane sur www.vnunet.fr
L'industrie du disque a-t-elle enfin pris la mesure de la révolution que lui impose Internet ? De nouveaux partenariats pour la distribution de musique numérique se multiplient, difficiles à envisager il y a encore un an.
Jeudi 3 avril, trois des quatre grandes "majors" du disque (Universal Music, Sony BMG et Warner Music) ont annoncé la création d'une société avec MySpace, le site communautaire le plus visité au monde. Cette dernière proposera aux internautes de l'écoute gratuite ou du téléchargement payant.
Va-t-on enfin arriver à une "distribution" de contenu multimedia en accord avec l'ère du temps. On dirait que oui, si les Universal et Sony se lancent, les autres suivront peut-être...
Depuis le 1er avril, le site pionnier de commerce en ligne Amazon propose aux Etats-Unis d'effectuer ses transactions par SMS depuis son téléphone portable : consultation, comparaison de produits et achat. Le nouveau service s’appelle TextBuyIt, que l'on pourrait traduire par "Achète-le par SMS".
Plus besoin d’ordinateur, seul un téléphone mobile classique suffit. Certes, les téléphones équipés d’un accès à Internet et d’un navigateur Web, comme l’iPhone, peuvent déjà accéder au site. Mais ce service s’adresse plus particulièrement au reste de la population – non négligeable - qui ne dispose pas de téléphone mobile multimédia.
"Si vous sortez d’un concert et que vous désirez acheter l’album de l’artiste que vous venez de voir, ou encore si un ami au restaurant vous recommande un livre à lire : il suffit d’envoyer un SMS à Amazon, de confirmer et le produit est envoyé. C’est incroyablement simple et pratique", a déclaré , Howard Gefen , directeur d’Amazon Mobile.
Début de l'opération par SMS puis un appel vocal
Quelle est la démarche à suivre pour utiliser TextBuyIt ? Il suffit d’envoyer par SMS le nom, le mot-clé ou le CUP ou l’ISBN du produit voulu à AMAZON (ce qui correspond à 262966 sur le clavier d'un téléphone mobile pour les utilisateurs américains). Ensuite, Amazon répond avec une liste de produits correspondant à la demande, le client répond à nouveau en indiquant sa sélection. L’achat se concrétise par un appel vocal d’un agent conseil d’Amazon qui finalise les détails de la transaction.
Pour utiliser ce service, il faut au préalable être titulaire d’un compte sur Amazon. TextBuyIt utilise ce compte et ne redemande pas à chaque fois le numéro de carte lors d’une commande. En permettant de consommer où que l’on soit et quand on le souhaite, ce service va favoriser l’achat d’impulsion, c’est à dire l’achat sous le coup de l’émotion.
Ce nouveau service illustre la démarche d’Amazon de se concentrer depuis ces derniers mois sur son offre mobile. La firme de Jeff Bezos a d'ailleurs amélioré la version de son site pour les téléphones nouvelle génération munis d’un navigateur Web en vue de surfer sur l'émergence du m-commerce.
article ecrit par Cécile Grégoriadès sur http://www.vnunet.fr/
TRIBUNE: Open XML ou les normes ISO de l'OSI encore crédibles?
03-04-2008
Par Bertrand Bruller (*)
On peut s'interroger sur les conditions dans lesquelles cette norme ISO de Microsoft a été votée. Il en va de la crédibilité de l'OSI...
Organisation internationale de normalisation, ou ISO (International Organization for Standardization), est un une organisme international de normalisation composé de représentants d'organisations nationales de normalisation de 158 pays.
Son objectif est de produire des normes internationales dans les domaines industriels et commerciaux qui soient utiles aux organisations industrielles et économiques de tout type, aux gouvernements, aux instances de réglementation, aux dirigeants de l’économie, aux professionnels de l’évaluation de la conformité, aux fournisseurs et acheteurs de produits et de services, dans les secteurs tant public que privé. En fin de compte, des normes qui servent les intérêts du public en général lorsque celui-ci agit en qualité de consommateur et utilisateur.
Dans le domaine informatique, les constructeurs ont toujours eu une position ambiguë vis-à-vis de normes susceptibles de nuire à leur hégémonie. Ils ont tout fait pour retarder la publication de certaines normes. Pour une grande part, ils ont réussit à enterrer définitivement le modèle OSI, y compris dans le domaine des réseaux où il était très avancé. Selon Tannebaum, ce n’était ni la bonne technologie ni le bon moment. Il a fallu que le Département d’Etat américain de la Défense impose ses propres normes sous peine d’être exclu du marché. C’est ainsi que le modèle TCP/IP s’est rapidement imposé en quelques années et a pu enterrer ainsi l’OSI.
La décision de normaliser le format Open XML, proposé par Microsoft concurremment avec ODA, est assez surprenante. La publication de cette norme avait été repoussée l’an dernier. L’Afnor (France) a voté contre. Pour quelles raisons ces organismes nationaux ont-il changé d’avis ? Sur quelles bases techniques ? Enfin quel est l'intérêt de disposer de deux normes pour le même objet ? Il est vraisemblable que le changement de ces votes n’est pas le fruit de problèmes techniques mais le résultat de marchandages. On est donc en droit de se demander combien de temps un organisme, dont la vocation est la recherche de l’intérêt général, peut rester crédible face à la publication de normes obtenues dans de telles conditions... .___ (*) Professeur à l'Ecole Centrale de Paris
Même si on se doute que les normes du marché prennent souvent le pas sur l'intérêt général, on peut effectivement se demander quelle sera la crédibilité d'une organisation qui est censée être libre de toute pression du marché et qui vote de cette manière. Ce cas est un bon exemple pour relancer le débat des normes ISO. De plus, je peux parier qu'il va faire couler pas mal d'encre.
C’est au Journal Officiel du 3 avril qu’a été finalement publiée la décision de la Commission Copie Privée relative à la taxation des téléphones trop doués pour la lecture des fichiers MP3.
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Prise fin février, cette décision avait été entachée par le départ des industriels, lesquels contestent fermement le régime actuel de la taxe copie privée et ses modalités d'établissement.
Les baladeurs téléphoniques seront dorénavant taxés si trois critères sont remplis :
- Une mémoire d'une capacité supérieure ou égale à 128 Mo (disque dur ou mémoire interne)
- La possibilité de restituer des contenus audio et/ou vidéo
- Des fonctionnalités propres à un baladeur : un outil spécifique de gestion et de transfert des contenus audio, une ou plusieurs touches dédiées à la fonction baladeur de l'appareil accessibles directement (la liste n’est pas limitative)
Deux barèmes selon l'aptitude du téléphone baladeur
Deux barèmes sont appliqués selon que l’appareil sait ou non restituer de la vidéo, en plus de l’audio. S’il sait simplement lire du contenu audio, voilà le barème par tranche de capacité nominale d'enregistrement (en Mo et Go)
1 euro : pour 128 Mo.
2 euros : au-delà de 128 Mo jusqu'à 256 Mo.
3 euros : au-delà de 256 Mo jusqu'à 384 Mo.
4 euros : au-delà de 384 Mo jusqu'à 512 Mo.
5 euros : au-delà de 512 Mo jusqu'à 1 Go.
8 euros : au-delà de 1 Go jusqu'à 5 Go.
10 euros : au-delà de 5 Go jusqu'à 10 Go.
12 euros : au-delà de 10 Go jusqu'à 15 Go.
15 euros : au-delà de 15 Go jusqu'à 20 Go.
20 euros : au-delà de 20 Go jusqu'à 40 Go.
Si le baladeur téléphone comporte un stockage dédié à la fois à l'enregistrement numérique de vidéos et de musiques (ce qui n’est pas rare), voilà le barème :
5 euros : jusqu’à 1 Go.
6 euros : au-delà de 1 Go jusqu'à 5 Go.
7 euros : au-delà de 5 Go jusqu'à 10 Go.
8 euros : au-delà de 10 Go jusqu'à 20 Go.
10 euros : au-delà de 20 Go jusqu'à 40 Go.
15 euros : au-delà de 40 Go jusqu'à 80 Go.
20 euros : au-delà de 80 Go jusqu'à 120 Go.
25 euros : au-delà de 120 Go jusqu'à 160 Go.
35 euros : au-delà de 160 Go jusqu'à 250 Go.
45 euros : au-delà de 250 Go jusqu'à 400 Go.
50 euros : au-delà de 400 Go jusqu'à 560 Go.
Application au 1er mai
On rappellera que ce nouveau régime qui va quelque peu faire gonfler les prix des téléphones baladeurs entrera en vigueur à compter du premier jour du mois suivant sa publication, soit le 1er mai, pour les appareils mis en circulation à partir de là.
Pour les autres téléphones, ne répondant pas aux trois critères exposés ci-dessus, mais qui sont malgré tout aptes à reproduire des fichiers audio, une étude est actuellement menée pour déterminer les usages des fonctions audio. Cette étude permettra de généraliser la ponction souhaitée par les ayants droit.
Une étude en cours, des barèmes provisoires
L’étude en question, comme nous le disions, aura un possible impact sur les présents barèmes. Ceux-ci ne sont que provisoires et frapperont les modèles mis en circulation en France jusqu'au 31 décembre 2008 au plus tard. Pour ne pas perdre de temps (le marché « est en développement rapide et significatif »), la Commission a procédé par analogie en assimilant ces téléphones avec capacités multimédias à de simples baladeurs. La préparation accélérée de cette ponction n'était pas étrangère à l'arrivée de l'iPhone en France, gorgée d'espoir de réussite commerciale.
Il aura donc suffi de leur coller le barème déjà applicable pour boucler temporairement le chapitre. L’étude d’usage en cours va cependant mesurer « l'évolution des technologies, des matériels, des usages de consommation, des pratiques d'enregistrement et de copie privée ». Selon ses résultats, il y aura donc remise à jour de ces barèmes. À la hausse, ou à la baisse.
On verra enfin que le domaine de la rémunération pour copie privée est actuellement le terrain d’une bataille en ordre, alors que des bruits de nouvelles taxes se font entendre « dans le domaine informatique ».
Le Comité international olympique demande au comité d'organisation des Jeux de Pékin d'ouvrir largement l'accès à internet en Chine durant la manifestation sportive. L'objectif est de faire en sorte que « les médias soient en mesure de travailler comme ils l'ont fait lors des précédentes olympiades », explique à Reuters, Kevan Gosper, vice-président de la commission de coordination des Jeux du CIO. « Il y a eu des critiques sur la fermeture d'internet pendant les événements liés au Tibet ces dernières semaines, mais nous ne sommes pas dans le temps des Jeux », a-t-il ajouté. Des sites étrangers inaccessibles toute l'année Comme nous l'évoquions récemment, le Net est soumis à une forte censure en Chine. Les autorités ont ainsi bloqué la plate-forme YouTube qui hébergeait des vidéos témoignant de la violente répression des émeutiers tibétains. En dehors de ces événements, l'accès à bon nombre de sites étrangers depuis la Chine est bloqué tout au long de l'année, comme le Washington Post ou le New York Times. Même chose pour Wikipedia en version anglaise qui est totalement censuré ; seule la version chinoise est autorisée. Les sites de grandes universités, tels que Stanford ou Yale, sont égalemet bloqués. Mais, par son statut de ville-hôte des Jeux, Pékin est tenu de garantir la liberté de travail des 30 000 journalistes attendus pour couvrir l'événement, du 8 au 24 août, a souligné le CIO. Par la rédaction, ZDNet France www.ZDNet.fr Je dirais que cette demande est légitime.Elle rejoint notre dcussion en seminaire sur la censure sur ternet dans certains pays de l'asie,notamment chez Minh.Non je blague chez Minh on peut fare ce qu'on veux sur internet.N'est ce pas minh ; =)
Doctor Suggests Cell Phones May Be Riskier Than Cigarettes
The danger of developing a brain tumor from extended mobile phone use is greater than the risk presented by smoking, an Australian doctor has concluded. Neurosurgeon Vini G. Khurana reached his conclusion by reviewing other studies into the connection between mobile phones and cancer.
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The dangers associated with cell phones could far outweigh those tied to asbestos and smoking, an Australian doctor recently warned in a new report.
In his paper, "Mobile Phones and Brain Tumors -- A Public Health Concern," Vini G. Khurana, a staff specialist neurosurgeon at the Canberra Hospital and associate professor of neurosurgery with Australian National University Medical School, summarizes a 14-month study in which he reviewed previous reports on the effects of mobile phone usage in medical and scientific publications as well as the popular press.
"There is a significant and increasing body of evidence for a link between mobile phone usage and certain brain tumors," Khurana writes. "The link between mobile phones and brain tumors should no longer be regarded as a myth."..............
Lors d’une compétition qui s’est déroulée à Vancouver récemment, où les participants tentaient de hacker Linux, Windows et Mac OS, le Mac Book Air a craqué au bout de… deux minutes !
Selon nos confrères américains de TG Daily, le chercheur en sécuirté informatique Charlie Miller a réussi à hacker, lors d’un contest à Vancouver, un Mac Book Air en moins de deux minutes. L’ordinateur en question était comme neuf, avec uniquement les programmes préinstallés à la base, lors de l'achat.
Charlie Miller a simplement utilisé un site Internet sur lequel il avait entré un code malicieux. Notons tout de même que le hacker avait travaillé son sujet en amont, avant la compétition. Pour cet « effort », il aura tout de même gagné le grand prix de 10.000 dollars.
Toutefois, les participants ont du signer une « charte » qui leur interdit de publier le code utilisé pendant la compétition « CanSecWest », sauf à Apple, bien entendu.
Charlie Miller est également l’un de ceux qui ont brisé les sécurités de l’iPhone l’année dernière. Linux et Windows n'ont, quant à eux, toujours pas été hackés.
Publié le Monday, March 31, 2008par Emilien Ercolani http://www.linformaticien.com/.
Moi je trouve ces compétitions trés intéréssantes, car elles permettent de découvrir les failles de sécurité qui peuvent coutaient trés chères après, et puis nous donnent une idée sur la robustesse du certains systèmes(dans ce cas le Mac est eliminé du premier tour ;)).
Le développement de l’informatique et celui des réseaux informatiques couplés à la démocratisation de l’accès à internet facilitent la diffusion de l’information sous une forme numérique insaisissable. CHAQUE individu connecté au réseau Internet peut accéder à une foule d’informations variées et aussi simplement se retrouver producteur de nouvelles informations augmentant d’autant sa potentialité. Le peer to peer (donnant l’acronyme p2p) peut se définir comme un réseau de pair à pair, les machines du réseau communiquant sur une base d’égalité, on peut ainsi parler de réseau d’égal à égal. Les législations internes ou européennes ont du mal à cerner ce phénomène qui stigmatise un certain vieillissement de la règle juridique. Faut-il envisager le peer to peer comme un mal et tenter de l’éradiquer, simplement l’encadrer d’une législation adaptée ou considérer des moyens de protections techniques ? Les développements et les applications permis par le p2p sont au centre du débat ; de nombreux logiciels de partage de fichiers sont disponibles gratuitement en téléchargement sur Internet et positionnent d’autant le p2p comme une menace et comme l’illustration d’incertitudes juridiques.
Les problèmes soulevés par le p2p sont: Perquisition dans les bureaux de sharman network par le MIPI vendredi 6 février, campagne anti-piratage lancée aux grammy Awards par la recording academy en début de semaine, dépôt massif de plaintes par la RIAA aux USA sont autant d’actions intentées contre la violation des droits d’auteurs par les utilisateurs de réseaux p2p.
Si on assimile l’acte d’échange de fichiers par le réseau p2p à un acte de reproduction, en considérant qu’il n’ y a pas eu d’autorisation de reproduction, alors il s’agirait d’une contre façon. (car selon les règles du droit d’auteur, nul ne peut effectuer une reproduction d’une œuvre sans autorisation). Cependant, il existe l’exception de copie privée qui permet la reproduction à usage privé du copiste (article L-122-5-1 du Code de la propriété intellectuelle), mais peut-on l’appliquer à l’échange dématérialisé qui s’opére sur un réseau peer to peer ? Un glissement s’effectue et nous mène au problème de définition de ces différentes notions qui n’ont jamais réellement été envisagées dans un cadre numérique et encore moins dans celui du p2p.
Qui est le copiste ? : est-ce celui qui sollicite la copie, ou celui qui la réalise. La cour de cassation propose une solution : celui qui détient et exploite le matériel de reproduction ( solution donnée dans l’affaire des boutiques de reprographie). Les copistes , dans le cadre du réseau p2p seraient ceux détenant et exploitant les ordinateurs permettant les échanges.
Le premier stade dans la procédure d’échange de fichiers est l’émetteur, c’est à dire l’internaute qui transmet le contenu. Ce dernier peut procéder à différents niveaux : Il peut envoyer un fichier dont il dispose localement ou il peut transmettre une partie d’oeuvre qu’il est lui même en train de recevoir. (Des logiciels comme Kazaa, e-donkey ou encore BitTorent offrent cette possibilité). Quel est donc son statut juridique ?
Posséder une copie numérisée de certaines plages d’un album CD peut s’apréhender sous l’empire de l’exception de copie privée, aux fins d’usage par exemple dans un baladeur MP3, mais la circulation de ces copies sur un réseau p2p s’apparente à une utilisation collective interdite, c’est à dire la mise à disposition du public d’un fichier ou d’une partie de fichier (sans que le destinataire ne soit spécifiquement identifié). Ainsi l’utilisateur qui transmet le fichier est pénalement un contrefacteur, et celui qui n’en transmettrait que de bribes en serait pour le moins complice.
« Ce jeudi 27 mars 2008 restera comme une journée noire pour le Web français ». Eric Dupin, le fondateur du site Fuzz.fr, n'a pas mâché ses mots en annonçant ce jeudi sur son blog le verdict de l'affaire qui l'oppose à l'acteur Olivier Martinez.
Ce blogueur influent du Web français vient en effet d'être condamné en référé par le tribunal de grande instance de Paris à payer 1 000 euros de dommages et intérêts et 1 500 euros de frais de justice à la partie adverse, pour avoir porté atteinte à la vie privée de l'acteur. Mais il n'est pas le seul. Les jeunes éditeurs du blog Vivre-en-normandie.com et CroixRousse.net ont écopé eux-aussi de 500 euros de dommages et intérêts.
Leur délit ? Avoir repris sur leurs sites un lien menant vers un article de source tierce qui évoquait une rumeur amoureuse entre Olivier Martinez et une célèbre chanteuse. Il y a un mois, le réalisateur du film La Môme, Olivier Dahan, faisait lui aussi condamner le site LesPipoles.com, pour avoir relayé par l'intermédiaire d'un flux RSS une information litigieuse fournie par Gala.fr. Faut-il croire que le cinéma français veut la peau du Web 2.0 ? A priori non, si l'on considère qu'Olivier Dahan et Olivier Martinez ont surtout pour point commun leur avocat, Maître Emmanuel Asmar.
17 autres sites en attente de jugement
« Je suis affligé », nous a confié Eric Dupin, peu de temps après l'annonce du verdict. « Cette décision est grave car elle remet en question les fondements même du Web communautaire. Elle montre aussi l'incompréhension de la justice quant au fonctionnement des sites comme Fuzz ».
En effet, le tribunal a retenu la « responsabilité d'éditeur » d'Eric Dupin, alors que Fuzz.fr était alimenté en liens postés et catégorisés par les internautes eux-mêmes, comme le célèbre Digg américain. Le site s'apparente donc clairement à un hébergeur non responsable de la nature de ses contenus, à l'instar de l'encyclopédie Wikipédia, récemment relaxée après des plaintes pour diffamation. « Les Fuzz-like sont en danger de mort », prévient le blogueur.
Le jeune éditeur lyonnais du site d'infos locales CroixRousse.net, Laurent Galichet, partage la même stupeur : « Cela signifie que n'importe qui peut être attaqué pour avoir hébergé un lien sur son site… C'est comme si on attaquait des kiosques à journaux lorsqu'un des magazines qu'ils vendent est poursuivi en justice ! »
Laurent Galichet assure qu'il avait justement pris soin de ne relayer que le flux d'informations « People » de Yahoo!, pour éviter les rumeurs infondées. Raté. Selon nos informations, Yahoo! aurait aussi été attaqué par l'acteur et ferait partie de 17 autres sites en attente de jugement.
« On ne nous a pas demandé de retirer le lien »
Eric Dupin comme Laurent Galichet ne cherchent pas à dédouaner les sites Web de toute responsabilité lorsqu'ils relaient des informations non vérifiées par leurs soins. Selon Lionel Thoumyre, fondateur de Juriscom.net, ce serait d'ailleurs le but recherché actuellement par la justice, pour rappeler que le Web n'est pas une zone franche.
« Je me suis déjà posé la question, assure le fondateur de Fuzz. Mais le problème ici, c'est la méthode : on ne nous a jamais demandé de retirer le lien en question, ce que j'aurais fait. On nous a directement assigné en justice… ».
« La notification n'est pas véritablement une obligation, rappelle Maître Jean-Philippe Hugot, qui avait défendu Wikipédia. Mais cette situation n'est pas très encourageante. Il y a de plus en plus d'affaires mettant en cause le statut flou entre hébergeurs ou éditeurs des sites Web. L'avocat relativise cependant la portée de l'affaire Olivier Martinez : C'est du référé, des décisions prises dans l'urgence. Elles ne sont pas gravées dans le marbre ».
Gageons que la communauté du Web 2.0, en ébullition depuis le début de l'affaire, saura se mobiliser pour faire entendre sa voix. Eric Dupin réfléchit d'ailleurs à un éventuel appel. Ironie du sort : le jour même du verdict circulait dans la presse l'annonce d'un mariage probable d'Olivier Martinez avec la chanteuse évoquée initialement dans les liens litigieux…
Quand une fondation soutient une fondation... La Wikimedia Foundation, dont l'encyclopédie libre Wikipedia est le projet phare, recevra 3 millions de dollars de la Alfred P. Sloan Foundation. Organisation philanthropique new-yorkaise créée en 1934, la Sloan Foundation est active dans les sciences et les technologies de l'information, l'éducation, les ressources humaines et la performance économique.
La somme attribuée servira à soutenir « le développement organisationnel de la fondation Wikimedia, à accroître la qualité de son contenu et la portée de ses services », a indiqué l'organisation philanthropique. Il s'agira, en particulier, de mettre en oeuvre la fonction 'flagged revisions' de Wikipedia, afin de « permettre aux éditeurs expérimentés de mesurer, de manière publique et transparente, la qualité des articles - en fait de fonctionner comme une sorte de label ».
Le dynamisme de Wikipedia tient à l'implication d'une large communauté de contributeurs et de lecteurs. Toutefois, malgré une audience record, le site web fait partie du top 10 mondial, les moyens restent limités. En outre, la Wikimedia Foundation manque de liquidités. Pour l'exercice en cours, de juin 2007 à juin 2008, le budget de fonctionnement est estimé à 4,7 millions de dollars. En novembre dernier, selon Florence Nibart-Devouard, présidente de l'organisation internationale à but non lucratif de droit américain, Wikimedia disposait de la moitié de cette somme.
Une très bonne nouvelle pour ceux qui cherchent souvent des infos sur wikipedia!!!
Adobe a publié un outil qui permet aux créateurs de contenu d'introduire une protection DRM sur les fichiers multimédias Flash. L’Adobe Flash Media Rights Management Server permet aux utilisateurs d’installer des verrous numériques sur leurs logiciels pour empêcher toute tentative de piratage vidéo sur les fichiers Flash.
A 40 000 dollars par CPU (processeur), l’outil s'adresse aux chaînes de télévision et aux opérateurs de sites qui utilisent Flash pour diffuser du contenu vidéo en streaming.
L’outil DRM (Digital Rights Managments) utilise le système de développement d’applications Air d’Adobe, qui permet aux utilisateurs de créer des applications Web pouvant être exécutées sans connexion à Internet. L’utilisation d’Air permet de maintenir les restrictions DRM lorsque l’utilisateur n’est pas connecté à Internet.
"Les nouvelles fonctionnalités de Flash Media Rights Management Server permettent aux éditeurs de contrôler et de protéger leurs ressources multimédias et de diffuser encore plus de contenu de qualité sur le Web et sur le bureau", a déclaré Jim Guerard, directeur des médias dynamiques chez Adobe.
L’application est actuellement disponible pour les systèmes Windows Server 2003 et Red Hat Linux. Adobe a promis d’étendre son outil de protection DRM aux versions Mac OS et Windows d’Adobe Media Player, ainsi qu’à la prochaine version Linux du lecteur.
Dans la droite ligne de sa nouvelle politique de cohabitation ponctuelle avec l'Open Source, Microsoft a annoncé travailler avec Eclipse pour que les outils de programmation Java de la Fondation fonctionnent au mieux avec Vista.
Concrètement, cette annonce va se traduire par le portage de la couche graphique SWT (Standard Widget Toolkit) d'Eclipse sur WPF (Windows Presentation Foundation) de Microsoft, afin de pouvoir utiliser Java pour écrire des applications au graphisme normalisé WPF. Le partenariat devrait permettre d'avoir un portage de qualité dans de brefs délais.
Microsoft et les membres d'Eclispe collaborent déjà sur la gestion des identités en entretenant des liens entre le projet Higgins d'Eclipse et CardSpace de Microsoft. En revanche, Sam Ramji, l'homme en charge des Open Source Labs de Microsoft, s'est refusé à évoquer l'idée de collaborations autres que ponctuelles entre sa société et Eclipse.
Par ailleurs, Eclipse annonce les prémisses d'Eclipse 4. Revisitées de fond en comble, les premières lignes de code de ce framework devraient voir le jour en 2010. Mais la version 3, dont l'itération 3.4 est promise pour cet été, continuera d'exister bien au-delà.
La préannonce d'Eclipse 4 (E4) est l'occasion d'une énième bronca contre la prééminence d'IBM. Salariés de la société Wind River, deux membres du comité E4 se plaignent de la présence à leur côté de 17 'IBMers'. IBM se contente de répondre que Wind River a toute liberté pour nommer d'autres membres.
Les analystes financiers sont presque tous d'accord : le rachat de Yahoo! par Microsoft a toutes les chances de se réaliser. Le numéro un mondial du logiciel a formulé une offre de rachat sur le portail le 1er février dernier pour 44,6 milliards de dollars (30 milliards d'euros), mais le Conseil d'administration de ce dernier l'a rejetée, estimant qu'elle était sous-évaluée. En attendant une éventuelle annonce officielle, le rival Google tente de peser de tout son poids pour faire capoter les négociations. Selon le géant de la recherche, l'opération risquerait tout simplement de mettre en péril la liberté de flux sur Internet. « Une acquisition de Yahoo! par Microsoft nous préoccupe, a déclaré aux journalistes le directeur général de Google, Eric Schmidt. Nous espérons que tout mouvement en ce sens respectera le caractère ouvert d'Internet, mais j'en doute », a-t-il ajouté. Les pratiques anticoncurrentielles de Microsoft Eric Schmidt a soutenu ces affirmations en faisant allusion à l'histoire de Microsoft et aux « choses [...] faites dans le passé et qui ont été si dures pour tout le monde », sans préciser plus sa pensée. L'année dernière, la justice européenne avait confirmé les sanctions très lourdes décidées à l'encontre de la firme de Redmond par la Commission européenne pour pratiques anticoncurrentielles. Microsoft avait alors été condamné à s'acquitter d'une amende de 497 millions d'euros. « Nous sommes préoccupés par des mesures que pourrait prendre Microsoft et qui pourraient être négatives pour Internet », a renchéri Schmidt. Le directeur général de Microsoft, Steve Ballmer, a promis au début du mois que le géant du logiciel gagnerait des parts de marché face à Google, sur la publicité en ligne et la recherche sur le Web Source:www.01net.com
Personnellement je dirais que google a peur d'une acquisition de la grande boite par microsoft.En effet je pense que si microsoft arrive a avoir google la société vas reduire son retard sur le web par rapport a google
OpenAjax Alliance Announces New Initiatives Around Secure Mashups and Mobile Device APIs March 17, 2008: 10:00 AM EST
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Le Japon a décidé de faire mieux que la France et l’Angleterre (qui ont un projet similaire) et de devenir le premier pays à bannir les utilisateurs qui partagent des fichiers”illégaux” sur Internet.
Etonnement, cette idée ne vient pas du gouvernement Japonais mais des fournisseurs d’accès, suite à de nombreuses pressions des industries de la musique et du film. Selon TorrentFreak, l’accord prévoit que les détenteurs de droits pourront suivre à la trace leurs fichiers sur Internet grâce à un logiciel spécial de détection puis notifieront les fournisseurs d’accès des enfreintes. Ceux qui partagent ces fichiers recevront une première mise en garde puis seront déconnectés d’Internet pour toute enfreinte suivante, peut-être même définitivement.
Ce processus débutera en Avril avec notamment les “utilisateurs -partageurs” de Winny, le fichier le plus populaire au Japon.
Apparemment les japonais ont décidé de durcir leur loi sur le téléchargement, malgré tous les problèmes éthiques que cela pose... il va bientôt falloir passer un "permis de surfer sur Internet" si cette tendance ce confirme...